LE NOBLE AGE : résultats semestriels très positifs

18/09/2013 - 18:05 - Option Finance

(AOF) - Le Noble Age a dévoilé un résultat net part du groupe de 3,4 millions d'euros au premier semestre, en hausse de 21,5% sur un an. Son résultat opérationnel a, lui, crû de 23,8% à 9,9 millions d'euros et son chiffre d'affaires de 38,7% à 164,2 millions d'euros. L'activité Exploitation du groupe de maisons de retrait a en outre progressé de 14,4 millions d'euros à 118,9 millions (+13,8%). Elle a reflété la croissance organique solide (+7,6%) et la politique de développement dynamique (+6,3%) qui ont porté le parc de lits en exploitation à 4 733 lits au 30 juin 2013. L'activité Immobilière, elle, a avancé au rythme soutenu des constructions et des restructurations. Sur le semestre, elle s'est établie à 45,3 millions d'euros contre 13,9 millions à la même période en 2012 et a représenté à la livraison une capacité supplémentaire exploitable de 446 lits. "Tous les indicateurs sont au vert pour atteindre nos objectifs tant quantitatifs que qualitatifs", a déclaré Jean Paul Siret, PDG du groupe Le Noble Age. "La taille cible que nous visions pour 2014 sera bientôt atteinte. Cette nouvelle dimension permettra au Noble Age d'extérioriser une croissance forte de ses résultats grâce à son modèle d'entreprise responsable", a-t-il poursuivi. Le groupe a rehaussé ses objectifs, tablant désormais sur une augmentation de 13% du chiffre d'affaires Exploitation à 245 millions d'euros, avec une croissance organique supérieure à 6%. Le Noble Age a par ailleurs ajusté l'objectif de marge d'Ebitdar des établissements en régime de croisière supérieure, désormais de 27,5%.

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Les grands énergéticiens européens sont contraints de revoir leurs ambitions. GDF Suez a ainsi revu à la baisse de 15% son bénéfice net (hors exceptionnel) attendu pour 2013 et 2014. Il a annoncé un vaste plan d'économies et de désendettement et une accélération de son développement dans les pays émergents. Un ensemble de facteurs pénalisent ces acteurs. A la crise économique en Europe s'ajoutent les mesures d'économies d'énergie. La baisse de la consommation de gaz devrait se poursuivre car une directive européenne sur l'efficacité énergétique oblige les opérateurs à réduire la consommation de leurs clients de 1,5% dès 2014. Autre menace : grâce à la révolution des gaz de schiste, les Etats-Unis sont désormais producteurs de gaz à bas prix. Face à une pression réglementaire et fiscale qui ne cesse de s'accroître, les intervenants ont choisi de réduire leurs investissements et de céder des actifs. FTB/ACT/