(AOF) - GDF Suez a annoncé un investissement dans un projet de centrale thermique dans l'État d'Andhra Pradesh en Inde, dans lequel il détient désormais une participation de 74%. Meenakshi Energy et Infrastructure Holdings Pvt Ltd (le vendeur) se partagent les 26% restants. " Le projet Meenakshi comprend une tranche de 300 MW déjà opérationnelle et une tranche de 700 MW en cours de construction ", a précisé le groupe énergétique. Ce dernier a souligné que ce premier projet en Inde correspond à sa stratégie d'investissement dans les marchés à forte croissance et lui fournit un point d'entrée dans le secteur de l'électricité en Inde, dans un État économiquement attractif. " L'Inde connaît une demande d'énergie croissante et est confrontée à un important déficit d'approvisionnement énergétique ", rappelle GDF Suez. GDF Suez est présent en Inde depuis de nombreuses années. Le Groupe détient une participation de 10% en tant que partenaire stratégique dans Petronet, importateur et opérateur de terminaux de gaz naturel liquéfié. Le groupe français développe actuellement avec GAIL un terminal de regazéification de GNL flottant d'une capacité de 3,5 millions de tonnes par an, situé à Kakinada, dans l'État d'Andhra Pradesh. A travers Tractebel Engineering, le groupe a récemment acquis la société Cethar Consulting Engineers, qui participe au projet de Meenakshi.
Les points forts de la valeur
- Premier producteur mondial d'électricité non nucléaire, premier fournisseur de services d'efficacité énergétique, deuxième fournisseur de services à l'environnement ; - Rentabilité opérationnelle relativement équilibrée entre les branches énergie Europe et International (25 % chacune), le global Gaz et GNL (14 %), les infrastructures (18 %), les services à l'énergie (6 %) et l'environnement (14 %) : - Résilience des activités régulées ; - Stratégie désormais axée sur les métiers énergétiques et les marchés à forte croissance, déjà 55 % de la production d'électricité, devant l'Amérique du nord et l'Australie (17 %) et l'Europe (46 %) ; - Réduction drastique de la dette, revenue à moins de 30 Md FTB/ACT/