Le ver est-il dans la pomme ? Depuis un cours record à plus de 700 dollars, point d'orgue d'une ascension de plus de 600 % en 5 ans, Apple peine à pleinement contenter les investisseurs. La disparition de Steve Jobs, disparu en 2011, commence à se faire sentir, assurent les mauvaises langues. La magie et l'aura de la marque, attachées à la vision d'un chef d'entreprise hors du commun, paraissent s'être quelque peu évanouies avec lui. Contrairement à celles de son prédécesseur, les keynotes de Tim Cook n'ont de fait que rarement provoqué l'enthousiasme du marché et des geeks. En outre, l'Iphone 5 ou l'Ipad AIr, en dépit de leur qualité, ne sont pas les révolutions technologiques et d'usage qu'incarnèrent l'Ipod ou le premier Iphone en leur temps. Mais comme le rappelle ses thuriféraires, Apple a beau être bousculé par une concurrence de plus en plus âpre, le groupe de Cupertino demeure néanmoins une redoutable machine à cash et la première capitalisation boursière de la planète. Mais la vache sacrée restera-t-elle une vache à lait longtemps ? Le meilleur de l'histoire d'Apple est-il totalement révolu ou faut-il profiter du repli du cours depuis le sommet de 2012 pour se positionner à l'achat sur le titre ? Virginie Robert, Présidente de Constance Associés et gérante de Constance Be America, spécialiste du marché américain a son avis sur la question. Afin de visionner l'interview de Virginie Robert (Constance Associés) sur Apple, cliquez sur la vidéo ci-dessus.
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