GENERALE DE SANTE : les cessions pèsent sur l'activité du premier trimestre

07/05/2014 - 18:27 - Option Finance

(AOF) - Générale de Santé a publié ce mercredi après la clôture un chiffre d'affaires en repli de 10% à 449,2 millions d'euros au premier trimestre. Il a cependant progressé de 2,1% à périmètre constant. Générale de Santé rappelle ainsi la cession de l'Hôpital Privé Beauregard en mai 2013, de la clinique Le Floride en juin 2013 et des cliniques Kerléna, Bazincourt et Les Sorbiers en septembre 2013. Son résultat opérationnel courant a pour sa part cédé 3,5% sur la période, à 46,2 millions d'euros. Enfin, son résultat net part du groupe a bondi de 18,1% à 22,8 millions d'euros. Le groupe privé de soins et de services à la santé souligne la hausse de son taux de marge opérationnelle courante de 0,7 point à 10,3% du chiffre d'affaires. " Malgré un environnement économique et tarifaire particulièrement dégradé, l'amélioration du taux de marge, mesuré par l'EBE, sur le trimestre par rapport à la même période en 2013, et la croissance significative à périmètre constant du nombre de séjours de 1,6% sur les 3 premiers mois, témoignent de la pertinence de notre stratégie de maîtrise des charges et de différenciation par la qualité. Cela nous permet notamment de renforcer durablement notre place de leader en France sur l'ambulatoire, avec plus de 54% des actes réalisés dans le Groupe, qui représente le futur du secteur hospitalier ", a indiqué Pascal Roché, Directeur Général du groupe. N'ayant pas formulé d'objectifs pour 2014, Générale de Santé a tout de même indiqué avoir à nouveau réduit sa dette financière, à 605,1 millions d'euros contre 610,3 millions trois mois plus tôt.

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LE SECTEUR DE LA VALEUR

Services aux collectivités

Neuf géants européens de l'énergie (Enel, Eni, E.ON, Gas Natural, GasTerra, GDF Suez, Iberdrola, RWE et Vattenfall) ont proposé une série de réformes dans le cadre de la mise en place d'un plan d'urgence. En jeu : la diminution de la consommation d'énergie, du fait de la concurrence des énergies renouvelables, et la baisse des prix. Les groupes proposent, entre autre, de freiner le développement des énergies vertes lourdement subventionnées. Ils suggèrent également de relancer le marché européen du carbone et de réserver les subventions aux technologies ayant réellement besoin d'un soutien de lancement, comme l'hydrolien ou l'éolien en mer. FTB/ACT/