Toutes les bonnes nouvelles ne seraient-elles pas dans les cours ? On peut l’envisager selon le Chef économiste d’Aurel BGC, Christian Parisot, et ce n’est pas forcément une excellente chose pour les marchés boursiers.
Les bonnes nouvelles s’empilent pour les marchés boursiers : l’économie mondiale croît harmonieusement, la croissance européenne surprend positivement, l’Amérique ne fait même pas mine d’arriver au terme d’un cycle de croissance d’une exceptionnelle longévité que son activité se trouve d’ores et déjà soutenue par une réforme fiscale de grande ampleur – près de 1500 milliards de dollars de baisses d’impôts qui bénéficieront aux entreprises de même qu’aux ménages. Et afin de parachever l’impression d’être dans le meilleur des mondes (du point de vue de l’investisseur), l’inflation reste muselée.
Tout va donc pour le mieux à un détail près : la bourse a déjà bien intégré les bonnes nouvelles, le risque de déception s’en trouve accru, selon Christian Parisot, chef économiste d’Aurel BGC, pour qui la thématique du Pricing Power est indubitablement à privilégier dans les portefeuilles ces prochains mois.
Explications dans « l’œil du Pro. »
Afin de visionner l’interview de Christian Parisot (Aurel BGC), cliquez sur l’interview ci-dessus.
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