Selon Véronique Riches-Flores économiste et fondatrice de Riche-Florès Research l’intervention massive des Banques centrales à travers le monde pour tenter de limiter la casse économique participera à rendre le monde d’après pire que celui d’avant.
Lors d'un premier entretien, Véronique Riches-Flores a esquissé un portrait relativement sombre du monde d’après ou biais et imperfections du monde d'avant le covid-10 seraient voués à s’intensifier.
Dans l’interview vidéo ci-dessus, l’économiste et fondatrice de Riche-Florès Research s’attache à nous dépeindre sans fard le rôle déterminant des banques centrales dans le façonnage de ce monde d’après et ce que dissimulent ces déferlantes d’achats d’actifs. Un tel déploiement de force, quoique rendu nécessaire par l’avènement de la crise liée au Covid-19, pose plusieurs questions majeures tant au plan économique et financier que social et démocratique. Les banques centrales sont-elles en train de tuer le capitalisme et endommager également la démocratie ? Leurs politiques non-conventionnelles ne favorisent-elles pas le creusement jusqu'à l'insupportable des inégalités sociales et patrimoniales ?
Retrouvez l’intégralité de cet entretien avec Véronique Riches-Flores traitant des multiples répercussions des achats massifs d’actifs par les banques centrales en cliquant sur la vidéo ci-dessus.
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