D’après Eric Turjeman, directeur de la Gestion Actions et Obligations convertibles chez OFI AM, deux paramètres seront déterminants sur les marchés boursiers en 2023.
00:00 Générique
00:07 Intro
00:28 Les deux composantes principales de la valorisation des actions
03:00 Les taux d’intérêt vont-ils redevenir favorables à la bourse ?
05:06 Bénéfices des sociétés : l’indicateur à suivre !
08:22 Une opportunité historique sur les marchés actions ?
10:44 La réouverture de la Chine synonyme d’une nouvelle flambée inflationniste ?
14:24 Le positionnement des banques centrales ne va-t-il pas doucher les espoirs des marchés ?
15:47 Quel serait l’impact d’une inflation durable sur les valorisations boursières ?
18:17 L’effet dopant de l’inflation sur les profits et l’effet Ferrari
26:00 Les prix immobiliers appelés à baisser ?
29:24 Le bon moment pour investir en bourse ?
32:47 Quel style de gestion adopter, value ou croissance ?
36:35 Midcaps ou Large caps ?
38:54 Ce qu’il faut retenir
Au sein de la communauté financière se répand l’idée que les marchés boursiers ont été très résilients dans un contexte particulièrement adverse. Alors qu’une guerre se déroule sur le sol européen, que les prix se sont envolés et que la probabilité de la survenue d’une récession grandit, le CAC40, à la clôture du 12 décembre 2022, ne reculait que de 9,5 %.
Dans cet environnement dégradé, nombreux sont ceux qui soutiennent que cette résistance relative ne pourra pas durer éternellement. Le recul inéluctable des superprofits pèsera sur les cours. Nous avons interrogé Eric Turjeman, directeur de la Gestion Actions et Obligations convertibles chez OFI AM, pour savoir s’il adhérait à cette thèse.
S’il ne verse pas dans un optimisme béat, Eric Turjeman envisage une année boursière 2023 moins catastrophique que d’autres, même s’il exhorte les investisseurs à rester sur leurs gardes et à ne pas croire que l’année sera un long fleuve tranquille.
D’après le directeur de la Gestion Actions et Obligations convertibles chez OFI AM, les cours boursiers vont connaître des à-coups, mais le sort de la bourse ne sera pas uniquement dicté par les taux d’intérêt des banquiers centraux. Les investisseurs doivent également avoir en tête deux notions clefs : l’effet Ferrari et la frontière des 2,5 %.
Retrouvez l’intégralité de cet entretien en compagnie de Eric Turjeman, directeur de la Gestion Actions et Obligations convertibles chez OFI AM, en cliquant sur la vidéo ci-dessus.
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