La biotechnologique NicOx fait état d'une trésorerie et équivalents de 81,7 Millions d'Euros au terme de son exercice 2006, contre 42,6 ME un an avant. Une augmentation fruit essentiellement des paiements reçus dans le cadre des accords Pfizer et Merck, ainsi que du placement privé de 45,5 ME bouclé en cours d'année.
Le chiffre d'affaires ressort sur l'exercice à 9,6 ME, contre 6,5 ME un an avant. Les dépenses opérationnelles ont enflé de 22,9 ME en 2005 à 36,3 ME en 2006, conséquence essentiellement des coûts liés à la réalisation et à la finalisation réussies de la première étude de phase 3 pour le naproxcinod chez des patients souffrant d'arthrose du genou", indique le laboratoire. La perte nette ressort à 24,7 ME après un déficit de 15,5 ME un an avant.
Le taux net d'utilisation de trésorerie (trésorerie nette consommée par la société pour ses activités opérationnelles, en excluant les flux de trésorerie nets provenant des activités d'investissement et de financement) a progressé à 17,8 ME contre 9,4 ME un an avant.
Pour le président Michele Garufi, "Le bilan et la position stratégique renforcés de NicOx devraient nous permettre d'exploiter pleinement le potentiel du naproxcinod, celui des autres produits de notre portefeuille et de soutenir notre transition planifiée d'une société de R&D vers une société biopharmaceutique intégrée".
Après la première étude de phase 3 de naproxcinod, NicOx rappelle avoir prévu d'initier deux autres études pivotales de phase 3 pour ce composé au cours du premier semestre 2007 (études 302 et 303) avec des résultats attendus en 2008.
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