(AOF) - Plastivaloire a publié des résultats annuels en forte hausse et des perspectives solides en dépit d'un contexte économique toujours peu favorable. Ces excellents résultats confirment la bonne orientation stratégique du groupe qui repose sur trois axes : une forte diversification sectorielle, une répartition hétérogène de sa base clients et un positionnement géographique diversifié dans toute l'Europe, au plus près des donneurs d'ordre. Le résultat net, part du groupe, au titre de l'exercice 2013-2014 clos fin septembre s'est établi à 11,8 millions contre un résultat nul un an plus tôt. Le résultat opérationnel courant a bondi de 419,8% à 20,6 millions tandis que l'Ebitda a progressé de 72,8% à 38,7 millions, faisant ressortir une marge de 9,2%, un résultat nettement supérieur à l'objectif de 8% annoncé par le groupe en juin. Le chiffre d'affaires, déjà publié en novembre, a grimpé de 6,1% à 418,9 millions. Les flux de trésorerie nets générés par l'activité ressortent à 32,5 millions contre 18 millions en 2012-2013. Cette forte génération de cash-flows, associée au produit de la cession de l'autocontrôle, contribue à réduire significativement l'endettement net du Groupe, en baisse de 10,5 millions par rapport à l'exercice précédent, à désormais 35,9 millions. Le taux d'endettement net s'établit ainsi à 20,2%. Fort de ces performances, Plastivaloire a relevé son dividende de 1 à 1,20 euro par action. Concernant ses perspectives, le groupe vise un chiffre d'affaires compris entre 465 et 470 millions en 2014-2015, intégrant 9 mois d'exercice de la société Karl Hess. Le groupe PVL franchira ainsi une nouvelle étape vers son objectif de 500 millions. Le groupe table en première approche sur une marge d'Ebitda comprise entre 8% et 9% du chiffre d'affaires et sur un taux d'endettement net qui devrait se situer autour de 40% à la fin de l'exercice en cours.
Biens d'équipement
Le Gimélec, syndicat professionnel des industriels de l'équipement électrique, et le Symop, syndicat des machines et technologies de production, appellent à la transformation numérique de l'appareil productif français, pour enrayer le sous-investissement industriel. Les technologies de l'usine connectée ou 4.0 sont déjà bien présentes chez certains professionnels comme ABB, Bosch, Schneider, ou Siemens, avec une offre d'automatismes et de robots visant à accroître la productivité et la flexibilité de l'industrie. Les deux syndicats préconisent une relance des investissements dans l'appareil productif d'au moins 5 milliards d'euros par an, pendant cinq à sept années, et recommandent également une meilleure structuration de l'offre d'outils de production pour faire émerger une véritable filière. FTB/ACT/
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. La valeur de l'investissement peut varier à la hausse comme à la baisse.
Dernière cloture | 161.00 EUR | ||||||||
Date du cours | 27/04/2017 | ||||||||
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