(AOF) - LDLC a dévoilé jeudi après la clôture un chiffre d'affaires 2013-2014 de 255 millions d'euros, en croissance de 22,7%. La progression a été forte tout au long de l'exercice, avec notamment 2 derniers trimestres excellents qui ont permis au vendeur sur Internet de produits électroniques d'atteindre son objectif de revenus, a précisé le groupe. Sur le seul quatrième trimestre, ses ventes ont atteint 69,9 millions d'euros, en hausse de 23,7%. Toutes les activités tant sur le segment professionnel que grand public ont contribué à cette croissance. "La forte progression du chiffre d'affaires tient tant aux ventes online qu'au canal boutique, qui affiche une progression des ventes de 24% à 21,4 millions d'euros à période comparable", a détaillé LDLC. Concernant ses perspectives pour 2014, l'entreprise a fait savoir être prête à "confirmer sa dynamique de croissance, avec en ligne de mire son objectif d'atteindre d'ici mars 2018 un chiffre d'affaires de 500 millions d'euros". De même vise-t-elle 5% de rentabilité opérationnelle pour s'imposer comme le leader français de la distribution de produits High-Tech Off et online. "Grâce à son positionnement de spécialiste et à la bonne lisibilité de son offre, le Groupe marque sa différence face aux acteurs généralistes. Il confirme également la pertinence de son modèle économique face à une concurrence toujours en mutation", a notamment commenté Olivier de La Clergerie, Directeur Général de LDLC.
Distribution spécialisée
Selon la Fédération pour l'urbanisme et le développement du commerce spécialisé (Procos), en décembre 2012 l'activité du commerce spécialisé a reculé sur un an de 3,5%, à périmètre comparable. Le démarrage plus tardif des congés d'hiver, la baisse du budget consacré par les Français à leurs achats de Noël et l'augmentation des ventes sur Internet expliquent cette tendance. La baisse d'activité a concerné tous les types de commerces et tous les secteurs. Sur l'ensemble de l'année l'activité a diminué de 0,9%. La timide embellie observée au premier trimestre (+2,1%) a été absorbée par la baisse d'activité au cours des mois suivants. Le commerce spécialisé n'a toujours pas rattrapé ses niveaux d'activité d'avant la crise de 2009. Le commerce en ligne voit sa croissance ralentir. La Fevad (Fédération e-commerce et vente à distance) a annoncé une hausse de 19% du marché en 2012, à 45 milliards d'euros. Le marché est entré dans une phase de maturité : le taux de croissance était de 37% en 2006 et de 24% en 2010. Le commerce électronique devient de plus en plus concurrentiel, ce qui se traduit par une réduction du chiffre d'affaires moyen par site. FTB/ACT/
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. La valeur de l'investissement peut varier à la hausse comme à la baisse.
Dernière cloture | 20.30 EUR | ||||||||
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Date du cours | 03/10/2023 | ||||||||
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