(AOF) - DL Software a enregistré au troisième trimestre un chiffre d'affaires de 10,2 millions d'euros, en croissance de 1,1%. " La marge brute du trimestre est en repli de 2,2% sous l'effet à la fois du ralentissement des prises de commandes et d'un effet de base défavorable lié à l'abandon d'activités récurrentes non rentables (notamment Médianet) ", a précisé l'éditeur de logiciels métiers destinés aux petites et moyennes entreprises. Le trimestre a également été marqué par la poursuite de l'évolution du mix activité en faveur des activités récurrentes qui ont représenté 62,2% de la marge brute du trimestre, à comparer à 59,9% au troisième trimestre 2011. Cette évolution traduit à la fois une baisse des revenus de maintenance (-8,3%) et une accélération des revenus d'abonnement qui progressent de 21,8% sur le trimestre, après avoir augmenté de 16,3% au deuxième trimestre et de 7,2% au premier trimestre. Sur les 9 premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires est ressorti à 34,3 millions d'euros, en croissance entièrement organique de 1,5%, et la marge brute a augmenté de 1,3% à 30,19 millions d'euros. A propos de ses perspectives, DL Software explique que la période de visibilité réduite se poursuit et s'accompagne d'une contraction du carnet de commandes. En dépit de cette situation, le groupe renforce ses investissements R&D et poursuit l'évolution de son modèle vers plus de récurrence et la montée en puissance des nouvelles offres des pôles Santé et Négoce. Dans ce contexte, l'éditeur de logiciels s'attache à court terme à maîtriser les charges opérationnelles de façon à préserver les marges.
Informatique - Editeurs de logiciels
Les acquisitions se multiplient dans le " cloud computing " (informatique externalisée). SAP a annoncé le rachat de la société californienne Ariba, spécialisée dans les applications pour commerçants, pour 4,3 milliards de dollars (3,36 milliards d'euros). Fin 2011 le groupe avait déjà annoncé la reprise de SuccessFactors, spécialiste des ressources humaines dans le cloud, pour 2,5 milliards d'euros. Quant à Adobe il a choisi, pour la première fois, de faire migrer sa suite logicielle " Creative Suite " dans le " cloud computing ", avec une version intitulée " Creative Cloud ", qui fonctionne à travers un abonnement mensuel. Même Microsoft s'y met : sa nouvelle suite " Windows 8 " est conçue pour être utilisée comme un service sur Internet, via une multitude de terminaux, et non plus comme un ensemble de logiciels installés sur un ordinateur. Ce mouvement ne se limite pas aux seuls acteurs des logiciels : Google a dévoilé un nouveau service d'infrastructures à la demande, " Compute Engine ", qui permettra à ses clients de bénéficier de ses propres " data centers ". FTB/ACT/
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