(AOF / Funds) - Certains actifs obligataires ont épuisé quasiment tout leur potentiel, estime Natixis AM. Les obligations des États core (ou considérées comme telles) n'offrent plus que des rendements très bas, tout comme le crédit investment grade. Par conséquent, l'allocation d'actifs obligataire devra s'autoriser plus de risque en 2013. Certains États périphériques en zone euro, la dette émergente, le high yield ou des actifs privés comme les loans, semblent être porteurs pour l'année qui s'ouvre, souligne l'analyste. Si toutefois, la croissance devait surprendre à la hausse (ce que l'on ne peut exclure désormais), il faudrait alors se méfier de ces actifs zone par zone et leur préférer les actions. En effet, si la croissance américaine s'établissait un peu au-dessus du consensus des 2 % (entre 2,5 % et 3 % sur l'année par exemple), des tensions inflationnistes pourraient être ravivées dans les économies émergentes. Dans ces zones en effet, certaines banques centrales s'emploient toujours à refuser l'impact de l'importation du quantitative easing (assouplissement quantitatif) aux Etats-Unis par les changes flottants, et continuent de maintenir une politique monétaire un peu laxiste pour ne pas trop pénaliser leurs exportations. AUT/ALO
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. La valeur de l'investissement peut varier à la hausse comme à la baisse.
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